Depuis que le test a été reconnu comme valide, il est désormais utilisé dans plusieurs cas.
En criminologie on récupère l’ADN issu de la scène du « crime » et on compare la carte génétique obtenue avec celle des suspects. Si deux cartes génétiques ne sont pas similaires, on peut en déduire qu’à 100% de chances ce ne sont pas les mêmes personnes. Au contraire si elles sont identiques, cela peut signifier trois choses : soit le meurtrier et le suspect sont une seule et même personne, soit il y a eu une erreur lors de l’analyse, soit les deux individus présentent par hasard le même profil. Cependant trouver l’ADN d’une personne sur le lieu d’un crime ne veut pas forcement dire qu’il s’agit du meurtrier. C’est pourquoi le test ADN pourtant qualifié par certains de « preuve parfaite », « une machine à vérité » ne doit être considéré que comme une preuve et non comme une « preuve ultime ». Celle-ci doit être associée à d’autres arguments pour qu’une accusation puisse être considérée comme fondée. Ce test peu cependant disculper une personne. Par exemple le cas Pitchfork, deux jeunes filles sont retrouvées dans le même village tuées et violées. La police arrête un suspect, un jeune homme de dix sept ans mentalement retardé. Il avoue avoir tué la deuxième jeune fille mais ne pas être responsable du premier homicide. Tout le monde est convaincu de sa culpabilité sauf son père qui tente de prouver son innocence et demande l’effectuation d’un test ADN. Les résultats sont faits par trois fois à partir du liquide séminal retrouvé sur les scènes de crime. Les résultats sont identiques et négatifs. En 1986 pour la première fois le test ADN disculpe un homme accusé injustement d’homicide, Richard Buckland est innocent. On prélève 4 582 échantillons de sang et de salive d’hommes entre dix-sept et trente-quatre ans susceptibles d’avoir commis les crimes. Aucun profil ne correspond à celui de l’assassin. Un témoignage met la police sur une nouvelle piste, l’homme en question aurait envoyé une autre personne faires les tests à sa place. Il est arrêté et soumis au test ADN. Cette fois ci le résultat est positif. La presse encense le test ADN, celui-ci à fait d’une pierre deux coups : libérer un innocent et démasquer un coupable. L’histoire est reprise par tous les journaux et devient un roman en 1989 : The Blooding de Joseph Wambaugh.
En criminologie on récupère l’ADN issu de la scène du « crime » et on compare la carte génétique obtenue avec celle des suspects. Si deux cartes génétiques ne sont pas similaires, on peut en déduire qu’à 100% de chances ce ne sont pas les mêmes personnes. Au contraire si elles sont identiques, cela peut signifier trois choses : soit le meurtrier et le suspect sont une seule et même personne, soit il y a eu une erreur lors de l’analyse, soit les deux individus présentent par hasard le même profil. Cependant trouver l’ADN d’une personne sur le lieu d’un crime ne veut pas forcement dire qu’il s’agit du meurtrier. C’est pourquoi le test ADN pourtant qualifié par certains de « preuve parfaite », « une machine à vérité » ne doit être considéré que comme une preuve et non comme une « preuve ultime ». Celle-ci doit être associée à d’autres arguments pour qu’une accusation puisse être considérée comme fondée. Ce test peu cependant disculper une personne. Par exemple le cas Pitchfork, deux jeunes filles sont retrouvées dans le même village tuées et violées. La police arrête un suspect, un jeune homme de dix sept ans mentalement retardé. Il avoue avoir tué la deuxième jeune fille mais ne pas être responsable du premier homicide. Tout le monde est convaincu de sa culpabilité sauf son père qui tente de prouver son innocence et demande l’effectuation d’un test ADN. Les résultats sont faits par trois fois à partir du liquide séminal retrouvé sur les scènes de crime. Les résultats sont identiques et négatifs. En 1986 pour la première fois le test ADN disculpe un homme accusé injustement d’homicide, Richard Buckland est innocent. On prélève 4 582 échantillons de sang et de salive d’hommes entre dix-sept et trente-quatre ans susceptibles d’avoir commis les crimes. Aucun profil ne correspond à celui de l’assassin. Un témoignage met la police sur une nouvelle piste, l’homme en question aurait envoyé une autre personne faires les tests à sa place. Il est arrêté et soumis au test ADN. Cette fois ci le résultat est positif. La presse encense le test ADN, celui-ci à fait d’une pierre deux coups : libérer un innocent et démasquer un coupable. L’histoire est reprise par tous les journaux et devient un roman en 1989 : The Blooding de Joseph Wambaugh.
De plus, l’ADN est utilisé lors de l’immigration pour le regroupement familial. En effet, la première utilisation de l’ADN dans un procès permis d’éviter à un jeune garçon originaire du Ghana d’être reconduit à la frontière.
Dans la plupart des cas c’est l’ADN nucléaire qui est utilisé mais lorsque celui-ci est trop endommagé, on peut aussi utiliser l’ADN mitochondrial. Etant plus petit que l’ADN nucléaire, il risque moins de se fragmenter en mille morceaux. C’est à partir de cet ADN que l’identité du squelette retrouvé à Berlin a été prouvé, en effet il s’agissait bien de celui du secrétaire personnel du Führer, avec une probabilité d’erreur de 1 sur 1500^9. C’est également avec cet ADN que c’est clos le mystère de la famille Romanov. Il manquait dans le tombeau familial les ossements de la princesse Anastasia, et une jeune personne venue dont ne sait où prétendait être la princesse disparu. Lorsqu’en 2007 un groupe d’archéologue amateur exhume une seconde fosse, les scientifiques ont pu affirmer, suite aux tests que tous les squelettes des membres de la famille avaient été retrouvé et que celui qui manquait à l’appel n’était pas celui d’Anastasia mais de sa sœur Maria. De même en France le cœur du jeune dauphin Louis XVII a été identifié alors qu’il avait disparu. Et récemment plusieurs tests ont été effectués sur plusieurs momies dont celle de Toutankhamon.
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